Poésie
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C'est une promenade, longue et brillante Selon si la vague gagne sur le soleil Sur l'eau, rien que l'oiseau impatient Et l'étendard de l'orque Silhouette dénué d'épaule qui compare à l'acier Sourire presque tendre, large bouche de fer L'orque ne dit rien d'autre que L'amour élégant qu'il porte à sa victime Autour de nous se dressent de multiples orques Ils glissent et nous oublions tout C'est un jeu pour celui qui défie la marée Que de se promener à travers ses semblables Orque Rien qui ne t'appelle d'autre Que l'eau et le sang Et la musique triste de la chair-océan. |
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