Revenir au musée
Description à travers l’histoire
Aller à la partie scientifique
L’explication de texte qui suit est tirée du livre Voyage au centre de la terre écrit par Jules Verne en 1850. Lidenbrock et Axel vivent à Hambourg. Un jour, Axel trouve un cryptogramme en le retournant. Celui-ci leur explique que Arne Saknussemm est allé au centre de la terre à travers le Sneffels qui se situe en Islande. Nos amis partent donc pour un voyage incroyable en Islande. Lorsqu’ils arrivent, ils aperçoivent « la double cime blanche du Sneffels » qui se dresse « dans les nuages à moins de cinq milles ». Les quelques explications qui suivent sont tirées de plusieurs passages mais ils débutent lorsqu’ils aperçoivent l’Islande.
Littérature
Introduction

I - L'Islande géographiquement

II - Description à travers l'Islande

III - La formation de l'Islande

Conclusion générale

I - Le sol de l’Islande

Nos trois aventuriers continuent leurs voyage et Axel nous décrit « le sol marécageux » de l’Islande. Ce sol donne un ensemble « triste ». Plus loin, les personnages virent « un terrain de laves s’étendre sous leur pieds ». Jules Verne nous informe qu’une « disposition » pareille est appelée « hraun » en Islande. La lave est « ridée à la surface » ce qui forme « tantôt » des « cables … allongés, tantôt roulés sur eux-mêmes ». On apercevait une « immense coulée » qui « descend des montagnes voisines » ; ce sont bien-sûr des « volcans actuellement éteints » mais tous « ces débris attestaient la violence » qu’il y a eu autrefois. Malgré cela, « quelques fumées de sources d"eau chaude » s’échappent de ceux-ci.

Plus tard, « le sol marécageux » reapparaît « sous le pied » des « montures »de nos héros. Quelques « petits lacs entrecoupaient » leur voyage et à présent, ils pouvaient voir « la double cime blanche du Sneffels »qui « se dressait dans les nuages à moins de cinq milles ».

Quelques photos de l'Islande
Bibliographie
Arc basaltique
Stapi
II – Stapi, une bizarrerie basaltique

Stapi « s’étend au fond d’un petit fjörd », ancienne vallée glaciaire envahie par la mer, « encaissée dans une muraille basaltique ». Le basalte est une roche volcanique, « brune d’origine ignée ». Il forme des coulées de lave lorsqu’il est épais de quelques mètres. Le basalte prend des « formes irrégulières » et on peut le reconnaître par sa surprenante « disposition ». Jules Verne a utilisé le champ lexical de la géométrie pour nous le décrire. Il nous explique que la « nature » a procédé « géométriquement » comme si elle avait manié « le compas », « le fil a plomb» ou même « l’équerre » à la façon d’un humain.