Type strombolien Ce type de volcan se caractérise par des laves un peu moins fluides que le type Hawaiien Cette viscosité plus élevée cause l'accumulation de gaz sous pression. Des explosions parfois assez violentes projettent des matériaux solides dont les couches alternent avec quelques coulées de lave solidifiée. Le cône volcanique, dont la pente atteint 30 à 45°, se surélève lentement. |
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Les différents types de volcans |
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Type hawaiien
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Type vulcanien Des éruptions très violentes avec des explosions de gaz entraînant d'assez grandes quantités de matériaux solides caractérisent ce type de volcans. Les laves sont très visqueuses. Souvent, après une période d'activité, la cheminée est bouchée par une croûte de lave durcie, sous laquelle s'accumulent gaz et lave. Parfois, le magma trouve une issue par des cheminées complémentaires mais, le plus souvent, une violente explosion fait sauter l'ancien cratère, créant ainsi une vaste dépression (appelée "caldeira") où s'éclaire un nouvel appareil. Cette dépression peut aussi être causée par l'effondrement de la chambre magmatique, suite à une diminution de la pression dans celle-ci. |
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Type péléen L'origine de ce nom est due à l'éruption de la montagne Pelée en 1902, en Martinique. Cette catastrophe débuta par l'apparition brutale d'une nuée ardente, énorme masse de gaz surchauffé et de cendres, échappée d'une fissure ouverte sur le flanc du volcan. Il se produisit alors une explosion d'une violence inouïe. En quelques minutes, la ville de St-Pierre fut anéantie avec ses 30 000 habitants. Après l'éruption, la lave très visqueuse forma un dôme au-dessus du cratère, dôme sur lequel d'éleva une sorte d'obélisque. Ce dernier atteignit 476 mètres de haut avant de s'écrouler peu à peu, ruiné par l'érosion. Les édifices rocheux correspondant à ce type sont surtout formés de produits solides mélangés à des fragments de roches arrachés aux parois de la cheminée. |
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