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narratif

 Chapitre 6

 Page de titre de ce roman

Apres être passé à la cathédrale gothique de Notre Dame de Paris, il marcha pour arriver à Orléans. Pendant ce temps, l'évêque, que Geoffroy avait rencontré, priait pour lui et pour que son comportement bizarre change. Mais, quant à lui, Geoffroy, il allait très bien et son comportement bizarre avait très vite passé. Mais l'évêque ne le savait pas, car depuis que Geoffroy etait parti, son comportement bizarre l'avait toujours accompagné. Bref, Geoffroy allait très bien et continuait à marcher pour arriver à Orléans, quand la nuit commença à tomber. Il ne savait pas où il allait dormir. Alors il alla dans une petite auberge, et là, il demanda à l'aubergiste :
« Bonjour monsieur, une petite chambre, s'il vous plait.
- Bien monsieur, voici les clés de la chambre numéro 1243.
- Merci, répondit Geoffroy fièrement. »
Il partit pour aller dormir dans cette chambre, mais l'aubergiste ne lui avait pas exactement indiqué où elle se trouvait. Alors, comme il était monté, il redescendit et alla à l'accueil, mais soudain, il n'y trouva plus personne. L'aubergiste n'était plus là. Il n'y avait pas un bruit. Alors Geoffroy partit de cette auberge en courant. Finalement il alla dormir sous un arbre où il se trouvait très bien. Le matin il fut réveillé par des petits miaulements de chatons. Comme il adorait raconter des histoires il leur raconta ce qui s'était passé la veille. Les petits chatons ronronnaient de joie, se frottaient contre lui. Geoffroy resta avec eux pendant toute la matinée. Geoffroy leur raconta aussi pourquoi il était là, `a savoir que le roi l'avait sacré chevalier et qu'il devait faire un pèlerinage jusqu'à St Jacques de Compostelle en passant par plusieurs étapes toutes différentes les une des autres et en prenant les tampons de toutes les étapes par où il passait aussi. Après il leur dit au revoir et partit pour continuer son pèlerinage, car l'air de rien, le temps passait.
Sans s'en rendre compte il était arrivé à Orléans. C'était une jolie ville. Ce qui l'intéressait, c'était de trouver l'université. Alors il se promena dans les ruelles pour essayer de trouver cette fameuse université d'Orléans. Les ruelles etaient étroites, en terre, certaines plus larges pour laisser passer les chevaux et les charrettes. Il était l'heure du déjeuner, alors il pique-niqua sous un arbre. C'est qu'il aimait bien les arbres, notre Geoffroy. Après le déjeuner, il continua à se promener dans les rues quand il vit un serf et un paysan qui étaient par terre. Ils avaient une maladie dont on ne savait le nom. Geoffroy passa devant eux. Quelque minutes plus tard, il se rendit compte qu 'il avait attrapé leur maladie. C'était une maladie très grave qui ne se soignait pas. Geoffroy s'aperçut que cette maladie était très rapidement contagieuse. Il y avait des personnes qui, sans rien faire, s'en sortaient très bien et d'autres qui en mouraient. On savait que si deux jours plus tard la maladie s'aggravait physiquement, il n'y avait aucun doute : il ne pourrait pas s'en sortir. Geoffroy se demandait ce qui allait lui arriver. Mais le temps passa très vite et deux jours après Geoffroy n'avait plus rien. Il était sauvé. Geoffroy n'était plus du tout stressé, mais complètement reposé. Il continua donc sa marche et vit qu'il n'était plus loin de l'université. Il le savait car elle apparaissait entre les arbres. Mais pour y aller il fallait faire un très long détour. Il fallait faire presque tout le tour de la ville. Alors il prit son courage à deux mains et se retrouva devant l'université une demie heure plus tard. Il arriva devant l'université d'Orléans. Il y entra et s'y promena. Il y avait tellement de monde qu'il ne pouvait pas trouver celui qui avait le fameux tampon. Alors il continua à faire un petit tour, quand il vit un homme qui semblait travaillait dans l'université. Geoffroy lui demanda :
« Monsieur, pouvez-vous me mettre le tampon de l'université ?
-Oui, mais pourquoi, lui répondit le monsieur étonné.
- Car pour montrer au roi que je suis un vrai chevalier, il faut que je fasse un pèlerinage à St Jacques de Compostelle en passant par plusieurs étapes. L'université d'Orléans est une étape de mon pèlerinage. Pour lui prouver que je suis bien passé par les étapes qu'il m'a demandées, je dois avoir les tampons sur mon petit bout de papier.
- Ah ! je vois. Alors donnez-moi votre petit bout de papier que je mette le tampon de l'université dessus.
- Voilà, tenez, dit Geoffroy.
- Et bien, vous êtes déjà passé par beaucoup d'endroits différents je vois.
- Oui, mon pèlerinage est bientôt fini.
- Tenez, le tampon de l'université est celui-là, dit le monsieur en le montrant du doigt.
- Merci, monsieur, vous êtes très charmant, dit Geoffroy tout content. »
Comme il était content, il partit en chantonnant pour arriver à Pouillon.

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 Chapitre 2

 Chapitre3

 Chapitre 4

 Chapitre 5

Chapitre 6 

 Chapitre 7

Chapitre 8